Selon des psychologues britanniques le troisième lundi du mois de janvier serait le jour le plus déprimant de l'année.
À l'origine de ce qu'ils nomment "Blue Monday" ou "Gloomy Monday", cette observation est fondée sur une formule "scientifique" à six variables:
où ces variables sont:
- La météo (W);
- L'endettement (D-d);
- L'après Noël (T);
- L'échec des bonnes résolutions (Q);
- Un bas niveau de motivation (M);
- Le besoin de se mettre en action (NA).
Cette année ce jour tombe le 19 janvier... aujourd'hui, et serait un cru particulièrement chargé en ondes négatives.
Qu'à cela ne tienne, The Optimists Society (La Société des Optimistes) prend les choses en main et organise une série de manifestations - parmi lesquelles l'emblématique sprint sur 500 mètres en robe fantaisiste afin de collecter des fonds pour une bonne cause - pour remonter le moral de leurs concitoyens et répandre de la bonne humeur.
C'est que si la fiabilité de l'équation plus haut est discutable et discutée, une étude américaine menée sur 20 ans auprès de plus de 4 700 personnes, et rapportée par le très sérieux British Medical Journal le 8 décembre 2008, avance que la bonne humeur peut se transmettre à trois degrés relationnels ; ma bonne humeur pourra atteindre les amis des amis de mes amis. D'autres résultats chiffrés indiquent que le bonheur des uns augmentent significativement les chances de bonheur des autres. Par exemple, un ami heureux résidant à moins de 2 km de chez vous augmentera vos chances de bonheur de 25% ; 8% pour une conjointe aux anges, 14% pour une frère béat, 34% pour un voisin sifflotant.
Petite digression: l'étude ne s'étend pas sur le fait que les conjoints semblent les plus hermétiques au bonheur de leur douce moitié...
La conclusion de l'étude est que le bonheur des uns dépend significativement du bonheur de ceux auxquels il sont connectés. Ce qui devrait nous convaincre de considérer le bonheur, au même titre que la santé, comme un phénomène collectif.
Sourire, c'est oublier la grimace.
:)
Aurélien
À l'origine de ce qu'ils nomment "Blue Monday" ou "Gloomy Monday", cette observation est fondée sur une formule "scientifique" à six variables:
[W + (D-d)] x TQ
M x Na
- La météo (W);
- L'endettement (D-d);
- L'après Noël (T);
- L'échec des bonnes résolutions (Q);
- Un bas niveau de motivation (M);
- Le besoin de se mettre en action (NA).
Cette année ce jour tombe le 19 janvier... aujourd'hui, et serait un cru particulièrement chargé en ondes négatives.
Qu'à cela ne tienne, The Optimists Society (La Société des Optimistes) prend les choses en main et organise une série de manifestations - parmi lesquelles l'emblématique sprint sur 500 mètres en robe fantaisiste afin de collecter des fonds pour une bonne cause - pour remonter le moral de leurs concitoyens et répandre de la bonne humeur.
C'est que si la fiabilité de l'équation plus haut est discutable et discutée, une étude américaine menée sur 20 ans auprès de plus de 4 700 personnes, et rapportée par le très sérieux British Medical Journal le 8 décembre 2008, avance que la bonne humeur peut se transmettre à trois degrés relationnels ; ma bonne humeur pourra atteindre les amis des amis de mes amis. D'autres résultats chiffrés indiquent que le bonheur des uns augmentent significativement les chances de bonheur des autres. Par exemple, un ami heureux résidant à moins de 2 km de chez vous augmentera vos chances de bonheur de 25% ; 8% pour une conjointe aux anges, 14% pour une frère béat, 34% pour un voisin sifflotant.
Petite digression: l'étude ne s'étend pas sur le fait que les conjoints semblent les plus hermétiques au bonheur de leur douce moitié...
La conclusion de l'étude est que le bonheur des uns dépend significativement du bonheur de ceux auxquels il sont connectés. Ce qui devrait nous convaincre de considérer le bonheur, au même titre que la santé, comme un phénomène collectif.
Sourire, c'est oublier la grimace.
:)
Aurélien
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